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En attendant Ike, l´ouragan

Depuis hier soir, les nouvelles sont de plus en plus mauvaises ... Ike se dirige droit sur la Havane, il vient d´^etre réévalué en force 4, il sera là demain ... Qu'à cela ne tienne nous partons pour les visites du jour sur les traces d'Ernest (Hemingway pas Guevara)

Un panneau dans le Hall de l´hôtel indique les mauvaises nouvelles

En attendant, le vent est un peu fort, mais on part

Sur la route les panneaux nous rappellent que nous sommes bien à Cuba

On repasse devant le ministère de l'intérieur cubain

Revolucion, encore et toujours. Saviez-vous que Fidel Castro est deux fois dans le livre des records: Le plus long discours : plus de sept heures Le plus grand nombre de tentatives dássassinat : plus de 600 à ce jour. C'est sans doute pour cela quíl n'a pas d'adresse connue. Fidel Castro est donc , comment vous dire... sans domicile fixe

Nous allons à la fabrique de cigare ... fermée pour pouvoir se préparer à l'ouragan Nous voilà devant la villa d´Hemingway ... fermée pour pouvoir se préparer à l'ouragan Super les visites du jour ... On se demande pourquuoi in est venu jusqu'ici ... PS : Sylvia nous dira mercerdi qu'on a fait ld détour pour bien nous montrer que c´'était fermé et que ce n´'était pas le guide qui décidait de na pas faire l'excursion ... Quelle drôle d'idée ... J'aurais préféré qu'on m'annnoce clairement la couleur, je serais allé faire un tour à La Havane, pour prendre en photo le Granma. le fameux bateau de Castro et du Che. que j´ai loupé hier

On traverse quelques quartiers ou les tiouristes ne viennent jamais

La banlieue de La Havane

Un système de poubelles efficace pour éviter que les animaux les éventrent

Nous arrivons à Cojimar, le village de pecheurs ou Hemingway a rencontré le pecheur qui allait lui inspirer son best-seller : le vieil homme et la mer.

La bar "La Terraza" est orné de photos d'Ernest Hemingway, et de son ami Gregorio. Il y a aussi la rencontre entre Hemingway et Fidel Castro. ensemble ils partagèrent une journée de pêche et comme de vieux amis ils discutèrent pendant des heures. C?est pour cette raison que personne ne s?étonna quand en 1960, lorsqu?il se déplaça, malade, aux États-Unis, un journaliste lui demanda son opinion au sujet du processus qui commençait à germer dans l?Île. Ernest Hemingway n?hésita pas un instant pour répondre : « Les gens d?honneur, nous croyons à la Révolution Cubaine. » Ike Arrive et les protections des fenêtres se reflètent sur les photos

Cojimar, au bar La Terraza, les photos en noir et blanc ornent les murs .... et rappellent que c'était le bar préféré d'Ernest Hemingway.

les fenêtres sont scotchés pour éviter leur explosion. On se prépare à l'arrivé de Ike

il est 11 heures du matin, et on passer au repas de midi. Clairement notre guide n´a qu'une seule envie, nous ramener à l'hôtel, rentrer chez elle, et se préparer. Plus vite, Plus vite, plus vite

Une excellente soupe de poissons, mais à 11h du mat .... j'ai du mal

La mer est de plus en plus agitée

Une télé au bar, l'inquiétude monte

Partout les gens sáffairent, se préparent, colmatent, retirent ce qui pourrait sénvoler

Non loind le là, toujours à Cojimar, un petit fort espagnol pour protéger le village.

Face au fort, un monument à la gloire d'Ernest Hemingway. À Cojimar, village de pêcheurs, il connut Gregorio Fuentes, qui devint son inséparable compagnon d?aventures à la recherche des espèces marines dans les eaux du golf du Mexique. Ce même Gregorio qui fut capitaine du yacht Pilar, fut une magnifique inspiration pour son ?uvre maîtresse « Le vieil homme et la mer ».

Lorsqu?en 1954 il reçu le prix Nobel de Littérature, il dit : « Ceci est un prix qui appartient à Cuba parce que mon ?uvre fut pensée et créée à Cuba, avec mes amis de Cojimar d?où je suis citoyen. ».

La mer se démonte de plus en plus

A star is Born : Irène

Retour à La Havane. Il est midi. L'ambiance du groupe est assez morose. Límpression que la guide a voulu "jusitifier son salaire" en nous enmenant à des endroits fermés ... Pour que l'excursion ait bel et bien eut lieu... Plus tard elle nous dira qu'elle l'a fait pourqu?on ne la soupconne pas de ne pas vouloir faire l'excursion et pour bien prouver que tout était fermé .... C'est n'importe nawak

Les petits magasins autour de l´hôtel se sont protégés avec des panneaux de bois ... néanmoins ils restent ouverts. Sylvia, notre guide, nous annonce que nous devrons rester à l´hôtel pendant l´ouragan, et que tout est arrangé . Elle nous annonce que selon elle, le circuit n'aura pas lieu, qu'il ne faut pas rêver. Nous demandons d´évaluer les possibiltés de rapatriement ou de transfert à Varadero. Il nous est répondu que Varadero a été totalement évacué (nous apprendrons plus tard que c'est absolument faux). Et que pour le reste, il faudra voir avec Neckermann... . Dès que nous sommes descendus du bus, Sylvia s'en va. Nous aurions aimé un peu plus d'infos, et surtout avoir un contact avec un représentant Neckermann, pour évaluer les possibilités pour la suite. Si la situation doit devenir aussi grave, et que le voyage est foutu, pourquoi de pas quitter le pays avant l'ouragan, et nous permettre une semaine de vacances ailleurs ....

Drôle d'ambiance à l`intèrieur de magasins de boissons. Tout le monde fait le plein, on se prépare à passer la journée de demain cloitrés.

Nous rejoignons notre chambre ... Les fenêtres sont scotchées également

Le vent est de plus en plus fort, mais pas encore dangereux. Les palmiers plient mais ne rompent point.

Nous décidons d´aller faire un tour dans les environs ... Partout c'est l´effervescence, on se prépare au pire, on colmate, on cache, on protège

On place de grandes bandes collantes sur les fenêtres pour éviter leur explosion

partout, on craint le pire

les volets des batiment qui en ont sont fermés

Nous atteignons le Malecon qui est toujours ouvert à la circulation. Al´arrière plan : L´Hôtel Nacional connu pour être celui de la mafia italo-américaine.

La mer est de plus en plus démontée, et le vent de plus en plus fort. Il va falloir penser à attacher ses cheveux

Du vent frais, cela fait presque du bien, mais au vu de ce qui s'annonce ... c´est surtout l´inquiétude qui domine.

13:40. Les vagues dépassent souvent le remblai le long du Malecon. Et dire quíl reste plus de 22 heures avant le passage réel de l'ouragan Ike

Toutes les sociétes ont fermé leurs portes et leur volets

Déjà des cables électriques sont arrachés

traînant à même le sol

Ou pendant dangereusement au milieu de la rue, obligeant les véhicules à passer sur le trottoir

Ce camion retire les feux de signalisation suspendus. seuls les feux "sur poteaux" restent en place

Derrière les fenêtres "sécurisées", Carine et Pat savourent une creême glacée

On remet les cables tomnbés comme on peut ... en attendant

15:00 : Sur le Malecon, les vagues sont de plus en plus hautes et de plus en plus violentes

Et voilà ce qui arrive quand on ne fait pas gaffe ... on est trempée

Une dernière photo ... Des policiers noius invitent à ne pas rester là. et on quitte l´endroit

Partout on retire tout ce qui pourrait être détruit par le vent, y compris les enseignes

les feux de signalisation ont déjà subi les premiers dégâts

Tiens une jolie statue moderne sur la rue N.

Les pabnneaux lumineux ont été retiés

Chef d´oeuvre de l´architecture, tellement mal

L´université de La Havane. fût créée en 1728, mais l´édifica actuel date du début du siècle paasé. Style neo-classique et colonne corinthiennes. C´est à seulement trois blocs de l´hôtel.

Ici comme ailleurs ... de belles américaines, des voitures évidement, car si nous avons croisié des touruistes de toutes les nationalités, nous návona pas vu dáméricains ...

Architecture coloniale, mais rarement en aussi bon état que celle-ci

Et le vent souffle, Oui, cette boule de cheveux, cést bien Carine

Autour de l´hôtel, des bâtiments très jolis rappellent que le quartier fut longtemps un quartier très huppé, mais aussi un quartier de plaisir, les maisons de débauche (c´est plus joli que bordel non ?) et les casinos étaient l´gion avant la Revolution

Don quichotte de la Mancha et Rossinante ont leur statue sur la Rampa (rue 23)

Pas de doute, rien que des maisons de pauvres

Tout le quatier du Vedado, est plein de maisons exceptionelles, certes plus récentes que celles de la vieille ville, mais la folie de grandeurs de ceux qui les ont construites, les rendent toutes attachantes

Là aussi, on se pr´pare à l`arrivée de l`ouragan

On planque ses biens les plus précieux comme on peut ....

UnT-shirt qui dit : Au service de la Revolution Cuba est décidément différent

Retour à l´hôtel, un petit apéro, une petite chanson ....



 
 
                   
 
 
Album mis à jour le 16-04-2009 22:36:55