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Ike passe, les ennuis commencent

/h30, ce matin, le télephone sonne. Pour des raisons de sécurité, on nous demande de quitter la chambre, et de descendre d´jeuner au second étage. Dans le restaurant, les vitres sont couvertes de plauqes de bois ... Il y a un mode fou, tout le monde est là en même temps, difficile de trouver une place pour sásseoir

Difficile aussi de trouver à mager . Serions nous dans un pays communiste : Voici léndroit ou il ný a pas de croissants. Il faut dire que le personnel est réduit à cause de l'ouragan, et que la demande est grande, puisque tout l´hôtel est là en même temps. De plus, vu la situation de l´hôtel, sur une colline à quelaues centaines de nètres de la mer, la plupart des résidants de hôtels du Malecon ont été rapatriés au Habana libre. Bref, le déjeuner fût un joyeux boxon.

Un bref retour dans la chambre avant 9 heures, La photo ne dit rien, on verra si on peut y ajouter une video, mais croyez-moi sur parole, même si Ike est rétrogradé en ouragan de force 1, cela reste un ouragan le classement des grand vents se fait en fonction de la vitesse des vents : 5 forces de tempêtes tropicales, puis 5 forces d´ouragan. Croyez-moi ces vents-là nónt rien de commun avec une tempête sur la mer du nord

9h : tout le groupe s´est regroupé dans le Hall de l´hôtel. Là aussi, les places sont chères, L´attentre commence, jusque là nous avions quelques infos à la tèlè sur TV5 ou CNN. Désormais ... plus rien.

El Salon de la Solidaridad n´a jamais aussi bien porté son nom

Les transat de la piscine ont été placés dans cette pièce pour accueillir les touristes rapatriés des autres hôtels.

Une télevision donne des nouvelles en espagnol, mais la plupart du temps ... pas d´images, les communications sont coupées. parfois un correspondant au téléphone, cést tout ... Et comme je ne comprend rien à l`espagnol .... Bref on ne sait rien

Le temps passe, on passe le temps, on discute , on se pose des questions pour la suite. Sylvia nous a annoncé que selon elle, le circuit n´aurait pas lieu ... alors que fera-t-on ? Je ne suis pas venu à Cuba pour un séjour plage (ceux qui me connaisse savent que ce n'est pas mon genre). Alors quoi ? On attend, sans nouvelles

A un moment, la cafetaria a ouivert ses portes, cést la seule vue vers l'extérieur, le temps de prendre une photo, et hop on ferme

Le hall reste bondé, et l´attente continue

Le prof donne ses explications

11 heures ... L'attente continue, ces dames se relaxent les jambes



Le début du scandale

11:15. Je vais quand même aller voir à la réception si quelquún a recu des nouvelles pour nous ... Pas nouvelles, mais, pire que cela, rien n`a éte arrangé pour notre séjour. Rien n´est prévu non plus pour que nous mangions (le circuit est en pension complète). Bon il falloir annoncer la nouvelle au reste du groupe, ce que je fais illico, les réactions sont assez vives ... on décide dáppeler notre guide, pas de réponse, on va chercher le classeur Neckerman. il n'existe qu'en allemand. Ah chouette Thomas Cook Informatie/informations , c´est sans doute bon puisque c'est quand même plus ou moins la même boutique. Patricia a d'ailleurs commandé son voyage chez Thomas Cook. Sauf qu´à l'intérieur, tout est en néerlandais. Bon OK, il y a le numéro de téléphone du représentant Neckermann/Thomas Cook à la Havane, un certain Cédric. On appelle, pas de réponse. On a un peu l´impression d`^tre abandonné.

Dédé décide faire un sms à sa fille en Belgique, elle contacte Neckermann à Gand, et nous on attend, il est une heure et demie, on décide d´aller manger, en demandant bien la facture. Non seulement on est abandonnés sans infos, il ne manquerait plus que l´on doive payer pour le repas... En allant vers le resto, un petit coup d'oeil vers le stand Cubatour pour voir síl y a quelqu'un, et en chemin on rencontre un homme avec un logo Neckerman autour du cou. C'est Cédric !

Il nous demande ce qu'il se passe parcequ'une famille a téléphoné de Belgique. Dès le premier contact il prend un air exaspéré, C'est vrai qu'íls sont enquiquinants ces touristes, c´est justement son jour de repos. "Où est votre guide ?"

"Chez ses parents!"

On lui résume la situation. On n'a plus de chambre, aucune information, rien n'a éte prévu pour la suite ... A contrecoeur, il va essayer de régler la situation en chargeant toutes les fautes sur Sylvia. Cédric a été rapatrié vers notre hôtel la veille, comme beaucoup de monde. Il a beau charger Cubatour en général, et Sylvia en particulier, la minimum minmorum de conscience professionnelle eut été de venir voir ses clients. Les circonstance exceptionnelles semblaient selon moi justifier un service minimal.

Je ne peux pas rester en place, je me suis baladé toute la matinée. Je ne l´ai pas vu, de là à en conclure qu'íl se planquait, ou tout au moins quíl ne portait pas les signes distinctifs propres à Neckerman/Thomas Cook, il n'y a qu´un pas que je me permettrai de franchir. Plus tard à Varadero, nous apprendrons que Neckerman à Gand a appelé Neckerman à Varadero, qui a appelé Cédric sur son GSM, et là il a répondu, alors que nos appels sur ce même GSM restaient sans réponse. Bref je resterai nettement plus poli que certains de nos camarades d'infortune. Les qualités professionnelles de ce monsieur laissent à désirer.

Pour finir il nous laisse aller manger à 14h45 (le buffet ferme à 15 heures). Il règle le problème des chambres. Et nous assure que Sylvia sera la demain à 9 heures pour démarrer le circuit. Nous devons être dans le hall avec nos bagages à 9 heures tapante. Il nous explique encore que tout est de la faute de Cubatour et de Sylvia. Ce à quoi, je lui dit que leur popotte interne ne m'íntéresse pas. Jái commandé un voyage chez Neckerman, je parle à Neckerman, point à la ligne.

Ah quelle horreur ces touristes qui veulent avoir des infos!

La colère et l'ínquiétude fait donc place à une certaine indignation. Nous avons réellement eu l´impression de déranger. Enfin... Sylvia sera là demain, l'ambiance se calme un peu, la tension descend un peu. Pour ma part, je ne sais pas pourquoi, je sens que ce ne sera pas aussi simple. Ce soir je ferai mes bagages, mais je ne les descendrai pas demain matin tant que le bus n'est pas là.

Nous nous posons la question ... et si je n´étais pas allé à la réception ? Et si la fille de Dédé n'avait pas contacté Neckerman, et si et si ? Nous serions peut-être toujours bloqué à La Havane.



Au dehors c'est la Desolacion, au dedans c'est la consternacion



 
 
                   
 
 
Album mis à jour le 16-04-2009 22:36:58